Les rafales des ailes de l’ange Gabriel, dans son envol pour chasser Iblis et ses disciples, repousse les nuages qui obscurcissent le ciel.
Le peuple, grisé et enivré par les discours populistes de FENTEF et SOSTEF, animés par SONKO, retrouve sa lucidité.
La fumée enfarinée dans les yeux et l’esprit des populations se dissipe peu à peu. Une lumière encore vacillante, indécise, éclaire leur cerveau embrumé. Le peuple qui périssait faute de connaissances, comme un homme terrassé par l’alcool, retrouve peu à peu son assurance.
La vérité éclatante qui a mis à nu les mensonges de SAMBA GUERLAL l’a rendu libre.
Il a voulu effacer de notre esprit notre histoire politique véritable pour réécrire son parcours miteux jalonné d’actes extravagants et pervers.
Son caractère irascible et son arrogance cachent une incompétence notoire et une pleutrerie sans limite aucune. La foule, seule, réveille un chat en papier qui n’a que l’écume et le fiel dans la bouche.
Son discours sur la dictature et le développement met en exergue un homme sans savoir, méconnaissant l’histoire universelle.
A l’image de tous les dictateurs, il excelle dans la primarité comme un primate attardé. La peur de tous les instants se lit sur son visage effarouché.
Le Sénégal, témoin central de l’histoire coloniale, arme la plus puissante de la lutte de libération, ne saurait basculer dans une dictature infantile. Son histoire, gravée depuis des siècles dans les mémoires de ses héros n’a aucunement besoin d’être remodelée.
Seule l’autorité divine est incommensurable. Toutes les autres sont éphémères et celle de FENTEF et SOSTEF, inéluctablement, s’enfoncera dans les abysses au grand bonheur des Sénégalais longtemps abusés par des promesses dignes d’un vendeur de pipeaux.
Pour un Sénégal débarrassé de ces imposteurs et laudateurs attitrés ! La Cour des Comptes a vilipendé SONKO et le FMI l’a dénudé. Aux Sénégalais de se préparer pour affronter la dure réalité de la hausse des prix.
Les arrestations et les intimidations n’apeureront personne car la prison est la demeure des hommes dignes et intègres. Le vol simulé au Trésor n’est que le début de la fin d’accusations infondées. Vivement la libération de LAT DIOP, de FARBA, de TAHIROU et de bien d’autres innocents.
Le peuple, grisé et enivré par les discours populistes de FENTEF et SOSTEF, animés par SONKO, retrouve sa lucidité.
La fumée enfarinée dans les yeux et l’esprit des populations se dissipe peu à peu. Une lumière encore vacillante, indécise, éclaire leur cerveau embrumé. Le peuple qui périssait faute de connaissances, comme un homme terrassé par l’alcool, retrouve peu à peu son assurance.
La vérité éclatante qui a mis à nu les mensonges de SAMBA GUERLAL l’a rendu libre.
Il a voulu effacer de notre esprit notre histoire politique véritable pour réécrire son parcours miteux jalonné d’actes extravagants et pervers.
Son caractère irascible et son arrogance cachent une incompétence notoire et une pleutrerie sans limite aucune. La foule, seule, réveille un chat en papier qui n’a que l’écume et le fiel dans la bouche.
Son discours sur la dictature et le développement met en exergue un homme sans savoir, méconnaissant l’histoire universelle.
A l’image de tous les dictateurs, il excelle dans la primarité comme un primate attardé. La peur de tous les instants se lit sur son visage effarouché.
Le Sénégal, témoin central de l’histoire coloniale, arme la plus puissante de la lutte de libération, ne saurait basculer dans une dictature infantile. Son histoire, gravée depuis des siècles dans les mémoires de ses héros n’a aucunement besoin d’être remodelée.
Seule l’autorité divine est incommensurable. Toutes les autres sont éphémères et celle de FENTEF et SOSTEF, inéluctablement, s’enfoncera dans les abysses au grand bonheur des Sénégalais longtemps abusés par des promesses dignes d’un vendeur de pipeaux.
Pour un Sénégal débarrassé de ces imposteurs et laudateurs attitrés ! La Cour des Comptes a vilipendé SONKO et le FMI l’a dénudé. Aux Sénégalais de se préparer pour affronter la dure réalité de la hausse des prix.
Les arrestations et les intimidations n’apeureront personne car la prison est la demeure des hommes dignes et intègres. Le vol simulé au Trésor n’est que le début de la fin d’accusations infondées. Vivement la libération de LAT DIOP, de FARBA, de TAHIROU et de bien d’autres innocents.











