La directrice générale de Dakar Science Po,Dr Mariam Aidara a procédé ce lundi à la rentrée inaugurale. Sous le thème : «Ne devrait-on pas qualifier et professionnaliser les acteurs de la vie politique en Afrique de l’Ouest ?». L’objectif de cette structure repose sur les termes former à l’art de
gouverner.
Comme à l’accoutumée, le directeur général de Dakar Science Po a créé un cadre d’échange entre l’équipe académique de Dakar Science Po, les parents et les partenaires. Ce, sous la présence effective du Professeur Agrégé Papa Samba Ndiaye, Directeur de l’UFR de Science Politique et Juridiques à
l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, modéré par M. DIALLO Babacar Socrate, Directeur
Général du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques (C.E.D.S) de Dakar, le Professeur Serigne Diop, Professeur des Universités Titulaire, de Classe Exceptionnelle,
Agrégé en Droit Public et Science Politique, le Professeur Babacar Gueye, Professeur Titulaire des Universites de Classe Exceptionnelle, agrégé en Droit Public et Science Politique le Professeur Abdou Rahmane Thiam, Chef du Département de Science Politique Fsjp-UCAD et Professeur Agrégé de Science Politique, le Professeur Charles Moumouni, Professeur titulaire à l’Université Laval du Québec au
Canada, Co-Président de l’institut Panafricain de Gouvernance Économique (IPAGEF),
Professeur associé au CEDS de Dakar et à Dakar Science Po.
Interrogé à la sortie du débat d’idées, le directeur
Général du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques (C.E.D.S) de Dakar, Directeur
Général du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques (C.E.D.S) de Dakar par ailleurs,
Président du Conseil de Gouvernance de Dakar Science Po,
M. Diallo renseigne que son établissement est la seule qui enseigne de manière exclusive et spécialisée la science politique.
Et d’ajouter, «notre problématique tourne autour du comment faire pour qu’on puisse renforcer davantage les capacités des acteurs pour les rendre toujours plus performant dans l’exercice des activités de la vie politique. Dans ce cadre, les différentes interventions ont montré les façades de ce qu’on devait entendre par professionnalisation des acteurs politiques.
Selon les panélistes, le professionnalisme doit être compris et entendu uniquement par les manières de donner des capacités et moyens de mieux asseoir leurs compétences dans l’exercice des activités politiques pour arriver ainsi à mieux contrôler ce qui les dirigent car ayant un aperçu par rapport à leur droit et devoir.
ASTOU MALL