L’Institut Mariste Post-Bac (IMPB) a organisé ce samedi une rencontre avec les parents, étudiants de première année et tout le personnel éducatif dans le but de partager avec eux les projets de l’école, ses ambitions et les défis qui les encombrent tous durant tout au long des cinq années à venir. L’objectif global de cette établissements préparatoire intégrée depuis 2012, au réseau des grandes écoles d’ingénieurs de la FESIC France est de préparer les nouveaux bacheliers à poursuivre une formation de qualité dans les sciences et les nouvelles technologies et d’autre part, leur offrir les moyens d’être mieux outillés pour faire face et réaliser leur objectif de formation.
Alfred Faustin Quenum, Coordinateur de l’Institut mariste Post-Bac, renseigne que cette rencontre rentre dans le cadre de création de confiance entre l’administration et les parents qui ont confié leurs enfants.
« Nous avons besoin que les parents qui nous ont fait confiance puissent comprendre notre démarche, notre politique, notre mission et nos motivations ».
«C’est une réunion traditionnelle pour leur dire comment nous fonctionnons et leur donner de bonnes informations afin qu’ils soient conscients de tout ce qui est
modalités administratives, le visa et la scolarité à l’étranger, », dit-il.
« La classe préparatoire prépare l’élève qui a eu le baccalauréat à 17 ans à pouvoir se préparer psychologiquement pour faire face à l’étude supérieure ». Ça permet aussi aux parents de se préparer financièrement car, les deux années font au total 3 200 000 CFA.
Étant souvent confrontés aux non-respect des protocoles d’accord de certains parents.
Le coordinateur de l’institut invite les parents à respecter leurs engagements car il est contradictoire de vouloir offrir à ses enfants une bonne formation et ne pas faire un investissement. Il insiste de même sur à ce que les paiements soient respectés.
«Les parents doivent veiller à ce que les étudiants soient rigoureux, respecter les délais de paiement, et faire le nécessaire pour que l’enfant soit correct surtout en termes d’habillement, de comportement et de langage».
Germain Camara un des parents d’élèves déclare avoir pris l’engagement de mettre son fils à cette institution car, il a eu des éco qui l’ont rassuré.
Et d’ajouter que les grandes écoles préparatoires Européennes ne sont pas plus compétentes que celle d’Afrique.
Selon lui, les parents ont fait un bon choix. Et demande dès lors à ces derniers de laisser les étudiants participer aux journées qu’organisent de temps à autre l’institut afin qu’ils puissent faire face à la réalité de la vie; de les surveiller et d’être plus attentif.
Astou Mall