L’objectif de cet atelier est de promouvoir une gouvernance foncière plus inclusive, équitable et durable, notamment dans les zones à vocation pastorale.
« L’objectif de cette rencontre, est de moderniser le pastoralisme en impliquant les acteurs », a dit Dieyna Sidibé, éleveuse.
À cet effet, elle invite les partenaires et les éleveurs, à se mobiliser pour la « vulgarisation, la sensibilisation et la prise en compte de ce décret d’application, afin d’évolution dans la Souveraineté Alimentaire ».

Pour sa part, Djibril Diop, représentant du ministère de de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Souveraineté Alimentaire (MAESA), a fait savoir que « cette démarche permettra à chacun de connaître ses limites que ça soit éleveurs ou agriculteurs, afin d’éviter les conflits sur le plan foncier ».
Cheikh Oumar Bamba Diop, député et représentant de l’Assemblée nationale, laisse entendre, que ce projet de loi réunit les trois conditions d’un bon projet de loi que sont: l’efficacité, l’effectivité et l’efficience. D’ailleurs, en tant que représentant du peuple à l’assemblée, compte défendre ce projet pour dit-il « un cadre d’épanouissement pour les agriculteurs et éleveurs ».
Quant à la Coopération Allemande partenaires stratégique, se donne comme mission d’accompagner l’Etat du Sénégal à avoir des textes adaptés aux besoins des acteurs, puis les appliquer définitivement », a déclaré Mamour Dramé, représentant de ladite structure. Et de renchérir: « cette atelier de validation qui va fixer les modalités, cherche à pousser les acteurs de l’Agriculture et de l’Élevage à vivre en parfaite harmonie ».
À noter que cette rencontre a vu la présence des institutions Étatiques, collectivités territoriales, organisations pastorales, partenaires techniques et financiers, experts et société civile, entre autres.
Astou Mall











