Le CMD Tour ( Tourisme and Trade Sarl) organisé les 17 et 18 avril 2025 le Food Tour 2025 au Monument de la Renaissance Africaine. Le thème de cette première édition ici à Dakar porte sur: Explorer les traditions culinaires mondiales, « l’entrepreneuriat et l’innovation agricole ». Cette rencontre vise à promouvoir le consommer africain.
Avec comme invitée d’honneur sa majesté impériale, la reine Ashley Afolasade Adeyeye-Ognunwusi Oj aja II, de l’ambassadeur du Cameroun au Sénégal Jean Koe NTANGA, entre autre hôtes venus un peu partout en Afrique

Cécile Mambo, Co fondateur du CMDTour à magnifié cette initiative qu’elle que ça permet de rapprocher les pays et faciliter leur relation de commerce.
CMD Tour est une entreprise implantée au Sénégal. Nous aidons les pays à promouvoir leurs opportunités du tourisme, mais également leurs opportunités d’investissement et du commerce. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons pensé à organiser cet événement qui est à sa 7e édition, mais une première édition au Sénégal. Nous avons pensé qu’il était important de rapprocher les pays pour faciliter les relations de commerce surtout dans le domaine du tourisme gastronomique qui devient de plus en plus important ».
Selon Cécile Mambo, pendant très longtemps ce secteur du tourisme a été très négligé. Donc il est important de promouvoir la diplomatie culturelle, la diplomatie économique et à travers nos produits locaux. Donc on a pu allier le tourisme gastronomique et également le commerce et les exportations ».

Pour sa part, Jean Koe NTANGA, Ambassadeur de la République du Cameroun au Sénégal ajoute: « Le tourisme, cela passe par la paix. Le tourisme, s’il connaît des frontières, il va promouvoir nos arts culinaires. L’agriculture est là. Je pense que cette manifestation est là pour que notre agriculture, de tous les pays, puisse prendre un décollage. Parce que là aussi il faut le dire, la mondialisation peut être une mauvaise chose parce qu’elle fait en sorte que nos cultures ne soient pas tellement valorisées. Il faut que nos cultures surtout nos traditions africaines culinaires soient bien connues et qu’on puisse donner les moyens à nos agriculteurs les moyens du peu qu’ils doivent relever et produire ce qu’il faut ».











