L’amour propre et le moi affleurent chez Samba Guerlal qui le poussent à n’aimer que lui-même.
Il ne considère que sa propre personne. Il veut coûte que coûte être grand, heureux, riche comme crésus, parfait en tout.
Il développe ainsi un complexe pathologique contre toute personne susceptible potentiellement d’être plus brillante.
Dans sa croisade écervelée, Samba Guerlal a été victime de son imagination pleine d’erreurs et de fausseté, enrobée de fourberie à l’instar de Iblis qui d’évertue à égarer les hommes par la mécréance et le polythéisme.
La puissance des dirigeants politiques est fondée sur la raison et la folie du peuple. Celles-ci sont heureusement éphémères et très volatiles.
Seul un honnête homme (contraire aux caractères de Samba Guerlal) peut s’accommoder à tous les besoins des hommes. Dès lors le slogan « dioub, dioubeul, dioubeunti » devient creux.
A présent, l’amour des jeunes pour lui s’estompe et ses imperfections révélées au grand jour par des « VAR » ne méritent qu’aversion et mépris, à la limite de la pitié.
Aujourd’hui, l’ange aux ailes lestées constitue sa cible privilégiée car ayant « usurpé » le trône pour lequel il a sacrifié des vies innocentes : des jeunes victimes d’un charme maléfique qui obstruait leur horizon et embrumait leur cerveau.
L’ange aux ailes lestées, ayant goûté aux délices du pouvoir, ne compte plus lâcher la dulcinée qu’il veux encore pour huit ans et ceci, malgré une supposée conjuration nocturne balayée par la brise atlantique.
L’adage s’est encore vérifié : deux taureaux ne peuvent partager un seul abreuvoir et deux prétendants une fiancée.
Le pays, au cœur de leur zizanie, s’enfonce chaque jour dans les profondeurs de la déchéance.
Les « gorgolous » peinent à trouver la pitance et les salariés à joindre les deux bouts.
Cependant, malgré cet imbroglio, le peuple et le monde de la démocratie, de la vérité, doivent rester vigilants car Iblis, personnifié par Samba Guerlal, peut ressurgir de n’importe quel endroit, avec de nouveaux apparats, sans scrupule, comme si de rien n’était, se servant des événements antérieurs comme une distraction.
Vivement que le djérère réveille ses ancêtres pour briser la force maléfique qui plane dans le pays en congédiant « celui qui le suit ».Billet du Doyen ISMAÏLA KAMARA
Il ne considère que sa propre personne. Il veut coûte que coûte être grand, heureux, riche comme crésus, parfait en tout.
Il développe ainsi un complexe pathologique contre toute personne susceptible potentiellement d’être plus brillante.
Dans sa croisade écervelée, Samba Guerlal a été victime de son imagination pleine d’erreurs et de fausseté, enrobée de fourberie à l’instar de Iblis qui d’évertue à égarer les hommes par la mécréance et le polythéisme.
La puissance des dirigeants politiques est fondée sur la raison et la folie du peuple. Celles-ci sont heureusement éphémères et très volatiles.
Seul un honnête homme (contraire aux caractères de Samba Guerlal) peut s’accommoder à tous les besoins des hommes. Dès lors le slogan « dioub, dioubeul, dioubeunti » devient creux.
A présent, l’amour des jeunes pour lui s’estompe et ses imperfections révélées au grand jour par des « VAR » ne méritent qu’aversion et mépris, à la limite de la pitié.
Aujourd’hui, l’ange aux ailes lestées constitue sa cible privilégiée car ayant « usurpé » le trône pour lequel il a sacrifié des vies innocentes : des jeunes victimes d’un charme maléfique qui obstruait leur horizon et embrumait leur cerveau.
L’ange aux ailes lestées, ayant goûté aux délices du pouvoir, ne compte plus lâcher la dulcinée qu’il veux encore pour huit ans et ceci, malgré une supposée conjuration nocturne balayée par la brise atlantique.
L’adage s’est encore vérifié : deux taureaux ne peuvent partager un seul abreuvoir et deux prétendants une fiancée.
Le pays, au cœur de leur zizanie, s’enfonce chaque jour dans les profondeurs de la déchéance.
Les « gorgolous » peinent à trouver la pitance et les salariés à joindre les deux bouts.
Cependant, malgré cet imbroglio, le peuple et le monde de la démocratie, de la vérité, doivent rester vigilants car Iblis, personnifié par Samba Guerlal, peut ressurgir de n’importe quel endroit, avec de nouveaux apparats, sans scrupule, comme si de rien n’était, se servant des événements antérieurs comme une distraction.
Vivement que le djérère réveille ses ancêtres pour briser la force maléfique qui plane dans le pays en congédiant « celui qui le suit ».Billet du Doyen ISMAÏLA KAMARA











