Le Réseau Migration Développement (REMIDEV) a organisé ce jeudi, une rencontre d’échanges multi-acteurs autour de la problématique des personnes migrantes mortes ou disparues.
Le but de ce programme, est de contribuer à la recherche de stratégies pour une meilleure prise en compte de ce fléau.
Mamadou Diop, président de l’ONG Union pour la Solidarité et l’Entraide, par ailleurs coordinateur du REMIDEV, indique que la migration irrégulière constitue un fléau difficile à solutionner avec des conséquences économiques et psychologiques.
Pire encore, « on ne sait pas combien de personnes ont pris la route clandestine ni le nombre de morts enregistrés. D’où l’importance de se concerter entre États, Institutions et la société civile, afin d’atténuer la situation.
L’objectif est de faire en sorte que la migration soit un facteur de développement pour les pays de départ, les pays d’accueil, ainsi que les pays de transit, dit-il.
Et d’ajouter, « aujourd’hui, pour avoir un rendez-vous de dépôt de visa c’est extrement difficile, regrette le porte parole du jour de REMIDEV ».
À cet égard, il plaide pour que les pays voisins puissent changer de politique afin que ça soit bénéfique pour tous.
À noter que quarante (40) participants dont des représentants des ministères concernés, des partenaires techniques, des associations de migrants, des acteurs de la société civile, des chercheurs et des journalistes ont pris part à cette activité.
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