Le Pr Arona Coumba Ndoffene Diouf a organisé un point de presse ce vendredi pour montrer sa position pour les élections législatives du 17 novembre 2024. Face aux journalistes, l’ancien ministre de la République a annoncé avoir décidé de rejoindre le parti Pastef. Selon lui, trois axes prioritaires l’ont poussé a porté espoir sur le projet du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
Il s’agit de : le capital humain; le endogène développement et le développement durable.
A l’en croire, le Sénégal a connu en 50 ans une explosion démographique jeune représentant plus de 70% de la population. C’est donc parce qu’il y a une augmentation de la population (facteur travail) et des investissements (facteur capital), qu’il y a de la croissance. La forte croissance démographique du Sénégal qui s’est traduit par un rajeunissement de la population, peut constituer un atout pour le développement. Il suffit tout simplement d’éduquer et de former la population active, a-t-il déclaré.
Selon lui, le Référentiel des politiques publiques du Projet intitulé Sénégal 2050 » est entièrement basé sur les pouvoirs publics misent sur un modèle de développement endogène en y impliquant les pôles territoriaux exploitant les potentialités spécifiques de chaque région du Sénégal. Il incarne donc une rupture par rapport au PSE sur plusieurs aspects. Sur son approche économique, le PSE étant financé à hauteur de 43% par des fonds dont plus de 60% seront financés par le privé national. Un des objectifs majeurs du Référentiel est <<< l’autonomisation des groupes vulnérables les flux de financements prévus dans l’agriculture et l’agro-alimentaire aillent à directement aux paysans Le Référentiel a défini clairement le cadre normatif pour sa légitimité dans le court et le long terme, d’abord une programmation sur 5 années et qui contient tous les objectifs dans les cas d’espèce : développement de l’agriculture, de l’industrie et des PME, la construction publiques, d’infrastructures la bonne gouvernance, une poli+ IA WPS protection sociale, renforcement de l’état de droit, etc, a fait remarquer M. Diouf.
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