Le Groupe Septafrique a organisé ce vendredi la troisième édition du
Meetup annuel, sous le thème « Comment bâtir un secteur privé national fort et dynamique ». L’objectif porte sur des solutions adéquates pour faire sortir le pays dans la crise économique qui ne cesse de prendre de l’ampleur.
sous le haut parrainage de M. Babacar NGOM, Fondateur –
Président du Groupe SEDIMA par ailleurs Président du Club des Investisseurs Sénégalais, (CIS), cet événement a réunit cette année, plus de
500 chefs d’entreprise, grands décideurs, entrepreneurs et étudiants.
Mouhamed Fall, Al Amine fondateur et président du groupe Septafrique,
dit avoir mis en place cette initiative pour relancer le débat économique au Sénégal car étant convaincu que
le secteur éventuellement peut porter des croissances même si
l’espace public est accaparé en grande partie par des débats politiques et faits divers.
En ce qui concerne le domaine du transport, le fondateur à avancé être confiant des infrastructures que dispose le pays pour permettre dans l’avenir de réduire les 200 milliards que nous perdons par an causé par les embouteillages. Parmi les thématiques abordées figure la souveraineté car, quand la pandémie à covid-19 est apparue, les secteurs les plus touchés c’est celui pharmacocinétique car ne disposant pas suffisamment de médicaments pour secourir le secteur. En cela s’ajoutent les difficultés alimentaires dû au fait que le Sénégal soit un pays importateur. Sur ce, M. Fall à travers son discours s’engage à voir avec ses partenaires les jalons à poser pour avoir une autosuffisance alimentaire.
Pour rappel, SetAfrique a été créée en avril 2020, en plein crise sanitaire mondiale, dans le but d’orienter le débat de l’économie, la finance et l’entrepreneuriat avec un jeunesse qui ose et prêt à entreprendre.
Pour le parrain Babacar Ngom, il est convaincu de l’exigence de mobiliser le secteur privé national dans le contexte actuel plus particulièrement où nous vivons une série de crise.
Partant de la crise post Covid qui a mis en lumière nos insuffisances, incertitudes, le danger de nos expositions et le fait que nous comptons sur les étrangers alors que les moyens sont là pour relever le défi, se désole t-il.
ASTOU MALL